Serveur à l’étude : les 5 contraintes dont on peut se débarrasser !
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4 min.
Publié le :
13/07/2023
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2023
Faire le choix de garder le serveur informatique au sein de l’étude peut s’avérer très contraignant au jour le jour. Une multitude de petits détails à garder en tête viennent s’ajouter à toutes les vraies préoccupations qui incombent au métier du notariat.
Voici les 5 principales contraintes liées à un serveur physique dans l’étude, dont on pourrait se débarrasser !
1. Penser à organiser la gestion et maintenance du serveur
Même si le prestataire informatique est dans la plus part des cas autonome sur la planification des interventions de maintenance, le notaire doit quant à lui gérer les détails en amont, pendant et après l'intervention.Par exemple, le notaire doit s’assurer que le prestataire ait accès à l’étude et au local serveur en amont. Il doit aussi accepter que l’ensemble de l’étude arrête toute action durant les créneaux d’intervention.
2. En cas de panne, attendre (patiemment) le passage du technicien
En marge des interventions planifiées dites « préventives », les interventions d’urgences en cas de pannes, ou de mises à jour obligatoires, doivent souvent être faites sur place. Cela signifie qu’il faut contacter le technicien, peut-être via une hotline. Fixer une date et un créneau horaire de passage qui convienne à tous. Et enfin, s’assurer, le jour J, qu’il ait tout ce dont il a besoin pour éviter la fameuse « réintervention » !3. Penser à recontacter la banque pour refinancer l’achat du nouveau serveur
Dans ce cadre, les investissements financiers sont parfois lourds pour l’étude. Trouver un partenaire financier, monter le dossier de financement associé, échanger avec le partenaire.
Encore un dossier à traiter qui va alourdir sa charge mentale !
4. Recycler l’ancien serveur, et penser à bien supprimer (complétement) les données !
Acquérir un serveur informatique oblige aussi l’étude notariale à faire face à ses responsabilités de recyclage de celui-ci lorsqu’il arrive en fin de vie. Si le prestataire informatique se propose de le recycler, c’est déjà une bonne nouvelle. Mais, c’est la question réglementaire de la suppression des données qui est à prendre en compte maintenant, puisque l’étude a le devoir envers ses clients de s’assurer que leurs données ne puissent plus être accessibles sur son ancien serveur.5. Découvrir du jour au lendemain que le nouveau serveur coûte 50% plus cher que l’ancien
Rien de plus agaçant que de découvrir à la réception du devis du nouveau serveur, qu’il coûte significativement plus cher que le serveur actuel. On a beau nous expliquer que c’est lié au contexte macro économique ou la faible production des semi-conducteurs dans un pays lointain, on ne peut s’empêcher de sentir une contrariété montante que notre conjoint remarquera au premier regard le soir en rentrant !Comment s’en débarrasser ?
La réponse est toute simple : Ne plus s’embêter à acheter son propre serveur !Faire le choix de passer au modèle "Cloud" où l'étude notariale utilise la technologie mise en place par un expert, au lieu de s’entêter à reproduire un environnement technologique « fait maison » qui ne sera de toute façon pas aussi sécurisé que celui mis en place par cet expert.
Oui, mais c’est plus lent !
Vous avez peut-être entendu cette phrase « le cloud, c’est plus lent ».Cette affirmation est un raccourci qui ne prend pas en compte l'expérience globale des utilisateurs, puisque les performances en termes de temps de latence dépendent d’une multitude de facteurs et qu’elles ne sont pas forcément plus lentes en moyenne sur Cloud que sur serveur.
Nous publierons d'ailleurs, de manière transparente prochainement, une étude sur les performances enregistrées au sein des études notariales passées au Cloud par rapport aux performances de ces mêmes études, quand elles étaient en « serveur sur site ».
Vous découvrirez que bien qu’il y ait des opérations sur Inot ou le temps de latence est légèrement altéré, la plupart des opérations ne sont pas forcément plus lentes, ou si elles le sont, c’est à peine perceptible !
Nous pouvons d’ores et déjà vous dire qu’en cérémonie de signature par exemple, c’est même l’inverse, il est plus avantageux, et plus rapide d’être sur Cloud que sur serveur !
Vous ne voulez pas attendre la publication de notre étude ?
Nous pouvons vous présenter en direct les résultats préliminaires de celle-ci, pour comprendre comment plus de 40 études notariales optent pour le Cloud chaque mois en France depuis 2021.
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